Chaud,
Ce regard
Qui me suit,
Me saisit,
Me capture,
Caresse mordorée d’un automne rutilant.
Chaud,
Ce jour,
Au mois d’août,
Sur le sable,
Phoebus, maître de forge, transmute mon corps en cuivre.
Chaud,
Ce punch,
Cet alcool,
Ce cocktail,
Vibrante gorgée d’or pâle qui embrase mes joues.
Chaud,
Cet amour,
Cette passion,
Pour mon art,
La peinture,
Où mon âme exaltée flotte aux frontières du monde…
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Voici un très vieux poème
Merci à toutes et tous pour vos visites et commentaires très très appréciés