Avec beaucoup de retard sur un sujet qui m’avait attirée.
Pour l’Herbier, Adamante, ICI, nous avait proposé d’écrire sur cette œuvre de André Van Beek, ICI
A pas comptés, comme pour ne pas déranger, elle avance sur le chemin aux dalles mauves. Soie invisible et chaude, un parfum indéfinissable l’enveloppe.
Soleil estival-
Hirondelles, martinets…
Et une flâneuse
Son regard suit, alangui et rêveur , la toile mouvante des arbres occultant l’horizon. Peupliers, charmes, noisetiers, tilleuls, aubépines… Camaïeu de verts frémissant sous la caresse d’un zéphyr à peine perceptible. C’est l’été en pente douce.
Sur la trame du jour
Écriture du roman
« Paroles de jardin »
Au fil des minutes, Phébus impose sa volonté brûlante. Le jardinier, actif dès l’aube, a fermé sa cabane à outils et s’en est allé. « Enfin tranquilles! » semble dire la vie animale en s’emparant des lieux.
Dimanche doré-
Abeilles, mouches, bourdons
Travail à temps plein
Elle se promène, l’esprit vacant, toute entière offerte à l’instant présent. La neige des marguerites tempère le brasier or et feu des rudbeckies . Quant au fuchsia des echinacées , voyez comme il rivalise avec le rose tendre des cosmos. Tous ces massifs composent un merveilleux tableau.
Au soleil de 10h00-
Feu d’artifice
Végétal
MMR ( tous droits réservés)
Merci pour tous vos commentaires, échanges, très appréciés auxquels je répondrai dès que possible.