De l’idée
De la couleur
De la douceur
Un peu d’humour
Et le tour est joué
Enivrante fantaisie
.
Dans la nuit brune
le lapin de garenne
respire les senteurs
.
Ton lapin émeraude
Maraude
mais je l’attends fusil à l’épaule
Avec une casserole !
.
Entre rubis et émeraude, la nature est une pierre précieuse.
.
Il arrive que la lumière déguise les choses les plus banales
à nos yeux ,en fantasmagoriques lutins ,trolls , farfadets …
Si le céladon nage encore entre les eaux des prairies
la robe rubis du pavot enivre et soulève les rêves dans un
bruissement soyeux . Tout un monde craquelle, cricotte,bruisse
tambourine appelle de ses antennes ,de ses élytres
çà et là un colimaçon nacre sa piste sous le hamac de la piègeuse épeire .
.
- les fleurs
les abeilles
quelques papillons
monde estival
s’épanouissant au jardin
l’été se cherche
se trouve
se cache
revient
les fleurs
les abeilles
quelques papillons
rient
pleurent
au gré du vent
de la pluie
et du soleil
Les fleurs
les abeilles
quelques papillons
au bord de mon cœur
une larme de joie
simple merci
à la beauté du jour !.
Et tourbillonnent
Tes mots si bien pensés
Que la douce caresse du vent
Font danser
Allègrement
Toutes ces fleurs
Tel le jardin d’Éden
Comme un délice
Je l’ai dévoré
Des yeux avec enchantement
.
Me laissant porter
Dans ce souffle de beauté
je marche vers l’automne
au gaillard parfum
retenant en mes bras
l’ardeur de l’été
trop timidement caché
.
Je suis venue
J’ai respiré une bouffée d’air pur
Merveilleux de se sentir aussi bien
Dans cette forêt de mots
.
Ces Bouffées d’air alpine
qui me donnent le vertige
ont des saveurs grenadine
où les heures sont prestige!
.
Avec chacun de tes rêves
J’ai tissé un hamac où je viens me balancer,
comme le chat, au soleil de l’ivresse …
.
Je me suis laissée bercer par le bruit des vagues
Laissant derrière elles
Tes mots justes
Bien orchestrés
Poussés par le vent de l’amitié
Jusqu’à moi
Coquillages, enfantillages….
Où sont nos rires d’enfant ?
Sur la plage abandonnée coquillages et crustacés…
chacun retrouve en fermant les yeux le décor de son enfance
celui de l’insouciance
Un filet de sable s’échappe du sac de plage
quelques coquillages finissent de perdre leur éclat
sur le rebord de la fenêtre et le roman si épais ne
sera pas terminé , pas de conclusion , simplement des épisodes
supplémentaires à ajouter
des bribes de vie , de rire , de chapeaux de paille qui s’envolent
avec cette ligne infinie bleuâtre là-bas au ras de l’eau .
.
Au creux des coquillages,
le chant de la mer nous poursuit :
il suffit d’en glisser un dans notre poche
et écouter encore les notes de ses vagues… agréable !
.
J’ai emprunté la passerelle de bois
En suivant les bords de la rive
Saluée par ces majestés fougères
j’ai flâné sous saules et bouleaux
en rêvant à la beauté du monde.
.
Nature à pas de velours
Nature avec des mots d’amour
Nature et mots se conjuguent
Avec passion
.
Un temps de pause en balade verdoyante auprès de toi en un week-end passionnant et intense autour de la guerre de 14-18.
Je suis tes pas, je tends l’oreille, j’ouvre les œil, je suis là tu ne me vois pas, je ne te vois pas, mais je te sais proche dans une quête naturelle…
Il y a 5 jours dans notre chemin, j’ai perturbé la promenade du soir d’un sanglier solitaire. Je ne l’ai pas revu, je sais que les chasseurs le cherche, le trouveront-ils ?
.
Une promenade aquatique
sous un « arceau aux mille bras »
où se glisse ta plume magnifique
qui danse une saga africa!!
.
Je te devine telle une belle contemplative
face à la beauté de la nature ,
ses bruits,
sa vie qui se faufile, rampe,
s’amuse entre les herbes folles …
Jolies photos
Hier il faisait beau
Sur les chemins de campagne
L’automne gagne …
Offrant ses multiples couleurs
Ses belles mises en valeur
De Dame nature
Au fil de l’eau …
.
Brumes et brouillard
préparant sa noce de feu
l’automne se voile
.
Livia
Un beau concert de notes et de couleurs.
L’automne est bien là, malgré les températures douces,
certains arbres sont déjà dans leurs fracs noirs d’hiver, alors que d’autres, sont habillés de pourpre et d’or… Une symphonie sans fausse note, menée de main de maître.
La forêt
Dans sa tenue tzigane
Ravit mon âme
Le rouge-gorge
Un brin jaloux, s’offense
D’avoir autant de concurrence
.
Claudie ( sans blog)
L’automne en tzigane
paré de couleurs passion-
saison flamenco
.
Trompeuse avec ses couleurs chaudes
la nature accroche ses lampions
pour berner l’oiseau qui cherche encore
quelques pitances çà et là sous le duvet blanc .
- Et j’entends les violons fous de ce vent qui …me plaît à moi
Le peintre dessine son âme
L’écrivain trace sa vie
De maux en mots
La vie nous séduit
.
La lune est nue
elle baigne les vignes
de son halo glacé
pour des vendanges tardives
en chaud-froid confit
Concentré de grenade
toutes les lumières unies
un vingt novembre
.
fondante en bouche
juteuse Louise bonne
je la croque
.
- Tourte aux pommes
quelques noix et des poires
régal d’octobre
.
Claudie ( sans blog)
Douceurs de novembre-
des cailles sur canapés
moelleux aux raisins
.
Joli ton message
Tout en fleurs du fond du cœur
Pour te souhaiter à mon tour bonne journée
.
Poudre solaire
tout l’astre d’or concentré
en flammes-fleurs
.
Claudie ( sans blog. Et c’est fort dommage)
A rebrousse-temps
le jardin d’été revit
sous nos yeux conquis!
ça bombille, ça bourdonne
ça s’aime, ça fredonne
sur un air de jasmin!
Dans l’ivresse du soleil
Phébus au diable donne son âme
Les papillons s’enflamment
Succombant aux capucines
S’offrant dans leur bulbe câline!
Et dans cette bulle d’or attractive
Martine, séduite, s’endort, captive…
.
L’horloge ralentit
Et je me languis
De t’ allonger sur la mousse
En cette fin d’été en pente douce…
(Bon, c’est juste de la poésie …sourire !)
.
Métamorphose
des rayons de vie
qui s’enfuient
l’horizon s’éteint
demain reviendra
ailleurs et autrement
les flots effacent
le jour
la nuit s’installe
.
contempler le ciel
c’est voir la fuite des nuages et nos cicatrices s’effacent
.
Joli texte sans tain… mais aux teintes nostalgiques du présent qui grimace, même s’il ralentit son pas…
.
Ce miroir magnifie parfois le présent et qd tout s’enfuit , il reste la beauté du souvenir!
.
C’est , les yeux ouverts là-bas
sur l’infini
sur les friselis
en chantant chabadabada
sur la grève
emportant mes rêves !
Et enfin, il y a Florence dont chaque commentaire est une histoire sur mon histoire
…..
Merci à toutes et à tous pour vos réactions tendres, émues, drôles, poétiques….
Aujourd’hui vos mots ont la vedette!
Quel délice!
🙂