Le printemps est bien installé. Derrière la maison, la zone laissée intentionnellement sauvage, est peu à peu colonisée par les anémones. Chaque année c’est un enchantement. Là, vous n’en voyez qu’une partie.
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Jamais une seule d’entre elles n’a été plantée dans la friche. A l’origine, de l’autre coté, j’en avais installées en bordure de la plate-bande côté cuisine ( là où poussent les hellébores déjà évoquées précédemment). En deux ou trois ans elles ont disparu. Mais leurs graines ont apprécié ce coin du jardin à l’ombre de la maison. Au fil du temps la population des anémones s’accroit. Couleurs et formes se mélangent et créent un tapis somptueux.
Ces adorables conquérantes progressent tranquillement et quelques têtes rouges, violettes, fuchsias, blanches ou roses émergent sous l’étendoir et l’olivier en compagnie des pâquerettes. Cela nous oblige parfois à quelques gymnastiques pour les éviter. Qu’importe. Quel bonheur que ce rendez-vous annuel!
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